a une certaine figure au commencement de ſon mouvement ; & que dans les autres cas le mouvement de la corde ne peut être repréſenté par aucune formule analytique, ou, ce qui révient au même, ne peut être ſoumis au calcul. Dans un Supplément à ce Mémoire, je réponds à un très-habile Géomètre de Turin, M. de la Grange, qui avoit embraſſé l’opinion de M. Euler, & qui l’avoit appuyée par de nouvelles preuves, trouvant celles de M. Euler inſuffiſantes.
Le ſecond Mémoire à pour objet le mouvement d’un corps qui tourne autour d’un axe quelconque, fixe ou variable, avec une viteſſe quelconque, variable ou uniforme, étant animé ou non par des forces accélératrices quelconques. Cet Écrit n’eſt qu’une application des formules du Problême de la Préceſſion des Équinoxes, que j’ai réſolu le premier, à des cas encore plus généraux. De ſavans Géomètres ont déjà traité le ſujet qui fait l’objet de ce Mémoire ; mais ma ſolution du Problême de la préceſſion des Équinoxes, qui a ouvert la route pour réſoudre ce genre de queſtions, avoit pré-
