Page:Cydno la Lesbienne - Les tendres épigrammes, 1922.djvu/94

Cette page a été validée par deux contributeurs.

91
LES TENDRES ÉPIGRAMMES


côte à côte, mes rêves ont des ardeurs, des audaces, des trouvailles dont Jocaste et Mnémosyne, encore éveillées, s’amusent en chuchotant.

Mais j’abhorre la nuit sans lune parce qu’elle me cache les contours, les lignes, les nuances de Kallistô, et je bénis le retour du soleil parce qu’il me refait voir les fossettes de Kallistô.