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XLII
DIKTYNE ET L’ÂNE BLANC
Au printemps de l’année dernière, Diktyne était dans toute sa fraîcheur.
Je lui ai fait des propositions : elle n’a rien voulu savoir. Je l’ai sollicitée : elle m’a ri au nez.
Cet automne, elle voudrait bien : elle me jette des regards tendres et soumis quand je passe, rêveuse aux seins arrogants, dans le sentier qui longe la mer.