Page:Curwood - Le Piège d’or, trad. Postif et Gruyer, 1930.djvu/212

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ser voir, mais n’en était pas moins étrangement oppressé.

Soudain, à la sortie d’un terrain cahoteux, semé de petits monticules qui cachaient l’horizon, Blake montra du fouet un vaste espace libre et dit :

« Voici la rivière de la Mine-de-Cuivre ! »