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rossés si délicieusement, chose qu’ils n’avaient certainement pas faite depuis bien long-temps, retournèrent au logis, emportant au fond de l’âme mille regrets cuisans de s’être découverts l’un à l’autre, l’époux pour un libertin, elle pour une femme perdue, qui avait brisé pour toujours le seul nœud solide en mariage, celui d’une estime mutuelle.