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LE COFFRET DE SANTAL
Et mon sein croira, frémissant
Sous l’enlacement caressant,
Subir l’étreinte de l’absent.
![](//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/1/11/Feuille-Separateur-Cros-Poesie.png/20px-Feuille-Separateur-Cros-Poesie.png)
Que mon dernier souffle, emporté
Dans les parfums du vent d’été,
Soit un soupir de volupté !
Qu’il vole, papillon charmé
Par l’attrait des roses de mai,
Sur les lèvres du bien-aimé !