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plus de deux fois par an. De nocturnes garçons y règnent en tuniques, tutus et paniers qui étaient encore quelques années auparavant des petits bougres bien campés sur des pieds aux grosses chaussures. Jeunes maçons que l’innocence du plâtre désigna au désir d’un étranger, avant le règne des robustes Anglo-Saxons, vous aimiez pourtant les petites gonzesses bien balancées. Mais il y eut un coup d’œil, un mot, une promesse. Et puis il est si facile de se laisser caresser par n’importe quelle main, les yeux fermés. Alors on finit par trouver, sans s’apercevoir de rien, goût à la chose.

Certaine résolution prise, la vie, se dit-on, va, désormais, devenir bien facile. Et vite, de choisir dans tout ce qui a été vu, entendu, senti, deviné les éléments d’un rôle et d’imposer silence à tout ce qui rendrait précaire l’attitude.

Vie du corps, ou vie de l’esprit, ceux qui voulaient être, à tout prix, des satisfaits, se