DISCOURS AUX PEINTRES[1]
Devant le tableau le plus bouleversant, que l’on se garde bien de crier au miracle de la génération spontanée. Ils ont une racine, ils s’accrochent au quotidien ces fugaces liserons
- ↑ Fragments d’une conférence faite le 9 mai 1935 à la Maison de la Culture.