M. Bournizet, procureur-syndic de la commune de Versailles, a Versailles.
M. Behague de Montcove.
M. Behague de Canterenne, et M. l’abbé Behague, leur frère, curé et prieur de Mele, près Nogent. Ils résident tous trois à Mele, près Nogent-sur-Seine.
Le sieur et dame Eloy, rue des Jardins-St-Paul, n. 6 ; ils ont connoissance de mes malheurs depuis 25 ans.
M. le curé de Meriot, résidant au Mériot, près Nogent-sur-Seine. · M. Vettier, rue de la Harpe, maison du buraliste, n. 3 ; il fut nommé pour m’enseigner la langue et l’écriture françoise, depuis environ l’année 1750, lorsque j’étois dans la pension de M. l’abbé Goudin, rue St-Antoine, dont il a été parlé ci-devant ; il fut aussi nommé pour être mon secrétaire et homme d’affaires ; il me perdit de vue par mes malheurs innombrables ; il me revit et me reconnut en 1782, et reprit sa charge près de moi ; il me perdit encore de vue par ma dernière arrestation à Stettin, en Prusse ; puis il me revit et reconnut encore après ma délivrance et mon retour à Paris, au mois d’août 1791.
M. Graux, maréchal-des-logis de la gendarmerie nationale, résidant à senlis.
M. Legraux, inspecteur des fabriques d’azur et fonderie des mines des Pyrénées Françoises et Espagnoles, résidant chez madame Legraux, marchande lingère, rue Jean-de-l’Épine, près la Grève.
M. de Virgaux, hôtel de Candie, rue des Bons-Enfans ; il a connu mon nom et mes malheurs dans la prison de Stettin, en Prusse.
M. Rigaudeau, maitre tailleur, rue du Coq-St-Jean, près la Grève, la première porte cochère à droite, en entrant par la rue de la Verrerie. Il me connoit et a fourni ma maison depuis plus de dix ans.
M. Petit, ancien marchand de bois ; il me connoit depuis environ l’annëe 1750, ayant toujours fourni notre maison, et celle de M. Goudin d’Arostey, où j’étois en pension ; ledit sieur Petit demeure a présent rue de la Licorne, n° 14, à Paris.
Madame Maillard et madame veuve Gloria, demeurant au bout de la rue des Vieilles-Tuileries, au café du Cherche-Midi,