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CHAPITRE II.


Jean-Jacques Rousseau à Ermenonville. — Le Marquis de Girardin. — Cause de l’inimitié que lui portait M. de Créquy. — Lettre de J.-J. à Mme  de Créquy. — Réponse de l’auteur. — Le châtelet de Jossigny. — Disposition religieuse de Rousseau. — Sa mort. — Ses confessions et leurs variantes. — Le tombeau de Jean-Jacques et son inscription. — Épigramme du Marquis de Créquy. — La curée du cerf, anecdote racontée par Louis XVIII.

Pendant les joies triomphales et les agitations intérieures de M. de Voltaire, on apprit que mon pauvre Jean-Jacques était allé se réfugier sous la protection du propriétaire d’Ermenonville, qui s’appelle, ainsi que je vous l’ai dit, M. Girardin.

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À la vérité, c’était un ami de la famille le Jeune de la Furjonnière, il avait agi contre nous tant qu’il avait pu, et je crois bien que M. votre père en disait plus que moins sur son compte ; mais toujours est-il que c’était un singulier personnage en philosophie : il était le nigaud de la troupe, et je renvoie ceux qui voudraient en douter, à la lecture des inscriptions qu’il a fait