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Il faut que je vous parle d’une singulière discussion que l’Impératrice Catherine et sa chancellerie des affaires étrangères avaient entrepris de soutenir contre l’opinion publique. Elle a duré longues années ; je n’ai jamais voulu prendre parti pour ou contre, et je vais me borner à vous rapporter les trois pièces du procès.

Les nouvelles à la main avaient publié l’article suivant (qui n’avait surpris personne), en l’année 1771 :


« Madame d’Aubans vient de mourir dans sa jolie maison de Vitry, près Paris. Elle paraissait âgée de plus de quatre-vingts ans. Elle habitait