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« Vous auriez bien dû penser que dans ces cahiers que j’ai donnés à lire à Mme de Tessé, parce qu’elle m’en avait priée cent fois, il ne pouvait se trouver une seule ligne ni un seul mot qui pût scandaliser, je ne dirai pas seulement une honnête jeune femme, mais même une jeune demoiselle ! Ne me connaissez-vous donc pas, mon pauvre cousin ?… »
(Lettre de la Marquise de Créquy au Comte de Tessé.)