crois que l’idée de nous couvrir le visage de ce maquillage guerrier est assez bien trouvée, hein ?
En effet, il est bon que vos vassaux ignorent notre campagne buissonnière.
Mes vassaux ! Oh ! quelle joie de se retrouver au milieu de sujets qui vous chérissent… Je vous promets, seigneur, une vraie fête de famille… Les aimez-vous ?
Quelquefois… chez les autres ?
Toujours viveur !
Voici justement un chasseur par ici !
Vous allez voir la joie de ce brave homme en me reconnaissant… Et, vous savez… rien de préparé !… ce sera spontané !… Hé ! camarade !
Taisez-vous donc, imbécile.
Vous voyez ! rien de préparé… C’est très-drôle ! quand il me reconnaîtra… nous rirons bien… (S’avançant.) Mon ami, voulez-vous m’indiquer, s’il vous plaît, le chemin de Curaçao. (À Charles Martel.) Vous allez voir sa surprise.
Mais est-il embêtant, cet animal-là !
Il a fait filer le lapin.
Tiens ! c’est mon bourgmestre et Péterpip.
Voulez-vous déguerpir, vagabonds… ou je vous fais arrêter.
Qu’est-ce que c’est que ces olibrius-là ?…
Eh bien, quand vous me regarderez avec votre figure bête !