Scène III
Par la culasse ?
Par la culasse.
Eh ! dites-moi, bon homme d’armes, par où ça part-il ?
On dit que c’est par ici !… (Montrant la crosse.) Quand ça part par là !… c’est un accident.
Et rien de nouveau touchant les fugitifs ?…
Rien de nouveau ; mais nous avons battu la forêt et nous sommes sortis triomphants de cette lutte.
C’est bien ?
Je me permettrai d’ajouter que, dans cette campagne, le sergent Grabuge s’est conduit d’une façon au-dessus de tout éloge !
Et moi ? vous ne dites rien de moi ?
Attends… (Haut.) D’une façon au-dessus de tout éloge, qu’il a excité l’admiration du fusilier Pitou. (Bas.) Es-tu content ?…
Je suis content… Au fait, non, je suis pas content.
Assez… tenez-vous à l’écart… cernez le bois, toute la forêt à vous deux, et dans un instant je vous donnerai mes dernières instructions. Allez !