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16. Lorsqu’il montait en voiture, il tenait le corps droit, et prenait de la main le cordon qui aide à monter. Dans la voiture, il ne regardait pas en arrière, ne parlait pas avec précipitation, ne montrait rien du doigt. (Dans la voiture était fixé un cordon qui aidait à monter).

17. Lorsqu’un oiseau voit un homme à l’air menaçant, il s’envole, tournoie, puis se repose. Confucius dit : « Que cette faisane, sur le pont, dans la montagne, sait bien choisir son temps (pour s’envoler et pour se reposer) ! » Tzeu lou s’étant tourné vers elle pour la prendre, elle poussa trois cris, et s’envola (Les interprètes expliquent diversement ce passage. Quelques uns disent Tzeu lou prit, fit cuire et servit cette faisane. Confucius en respira trois fois l’odeur et se leva ; il n’en mangea pas). Si un oiseau remarque si bien tous les indices, l’homme devrait il aller et venir sans examen ni délibération ?