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— Hoû !… hurla le chœur.
L’acteur d’À Courcelles poursuivit :
L’été, bâché dans les terrains,
J’écoute les machin’s des trains
Meugler des not’s de violoncelle
À Courcelle.
Il attaquait le troisième couplet :
J’ réchauff’, l’hiver, mes paturons
À la brais’ des marchands d’marrons,
quand un farceur de l’extérieur fit jouer le bec-de-cane de la porte et, par l’entrebâillement, jeta en plainte lugubre :
— Tonneaux !… Tonneaux !… Tonneaux !… Avez-vous des tonneaux à vendre ?
Derouet impassible continua :
J’ dégel’ mes doigts sous mon aisselle
À Courcelle.
J’ m’ pay’ du foi’ cuit chez l’ tripier,
Que j’ boulott’ su’ des bouts d’ papier ;
On n’est pas fort su’ la vaisselle
À Courcelle.
Quand mon grimpant n’a pas d’boutons…