Page:Courteline - Le Train de 8 h 47, 1890.djvu/49

Cette page a été validée par deux contributeurs.

« Brusquement la porte s’ouvrit et le capitaine Hurluret apparut, suivi de Joussiaume, l’aide de cantine, tenant dans une main une carafe, dans l’autre deux verres à demi pleins d’absinthe. »