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piano la place qu’elle y avait laissée chaude, et, d’une voix qui vibra aux vitres des croisées, il entonna, soutenu de fantaisistes et invraisemblables accords : C’est pour la paix que mon marteau travaille, Loin des combats, je vis en liberté.

Car il avait, ce pauvre garçon, une érudition musicale limitée. Il savait le Forgeron de la Paix, le refrain du Père la Victoire et un couplet du Pied qui r’mue.