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IX


Les premiers, Adolphine et Joseph étaient devenus les confidents de Pauline, et tout de suite ils avaient approuvé le choix de leur sœur ; en somme, François Cappellemans était bien le mari qu’il fallait à cette enfant très naïve, et elle serait parfaitement heureuse avec ce garçon un peu fruste, mais intelligent et très bon.

Aussi plaidèrent-ils avec chaleur la cause du plombier quand le moment fut venu. Mais, stupéfait d’apprendre qu’un jeune homme d’une si infime extraction et, pour comble, exerçant un métier si peu noble, osât aspirer