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Mme KAEKEBROECK À PARIS

— Je tape vite sur du bois ! s’exclama finement Mme Mosselman.

— Oui, repartit Adolphine, on a de la chance, nous deux. Quand je pense que Pauline ne sait pas en avoir une de convenable… Tu sais, sa fameuse Adèle, eh bien elle plantait tout là pour courir avec un grenadier ! Ça, c’était une « galliarde » ! Et commune, et répondeuse ! Pauline en avait réellement peur…

Thérèse reconnut à son tour qu’elle ne pouvait pas se plaindre. Maria était une bonne fille, très dévouée, mais qui avait cependant ses lubies, ses heures de relâchement. Certains jours « on ne savait positivement pas ce qu’elle avait dans sa tête ». Enfin tout le monde avait ses défauts.

Adolphine qui voulait aussi que Léontine ne fût pas parfaite, dit alors en confidence qu’une chose l’inquiétait un peu depuis quelque temps et c’était ce rayonnement que dégageait la belle santé de sa bonne. De fait,