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LES DEUX CROISIÈRES

3 février 1907, par désespoir d’avoir succombé dans le grand championnat du Dungeness.

Au fait, rien d’étonnant à cela si l’on songe combien les Anglais attachent d’importance à tous les exercices de la palestre.

Mais on fit l’appel des noms. Il y avait une vingtaine de joueurs auxquels Mr James me présenta successivement et dont je dus serrer la main au risque de désarticuler la mienne.

Quatre jeunes femmes, y compris Mlle Rositer, prenaient part au match. Chaque camp en ayant réclamé deux, on les tira au sort.

J’eus le chagrin d’être l’adversaire de miss Helen et de constater avec dépit qu’elle était la partenaire de Reynaud. Mais sitôt que la partie fut commencée en face d’un public nombreux et sous la haute surveillance du captain Wood qui devait arbitrer les coups douteux, j’eus conscience de la solennité de la