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VII


Cependant M. Platbrood demeurait soucieux. Pierre lui apparaissait certainement comme un gendre parfait ; sa promotion de sous-chef, la dot que lui allouerait vraisemblablement Mme Vermeulen, lui assuraient sinon la richesse, du moins une existence confortable, exempte de soucis matériels.

Outre ses qualités morales, Pierre était donc « un excellent parti ». Nonobstant, il était pénible au major de marier sa fille sans avoir obtenu le consentement de M. et Mme Dujardin.