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LE MARIAGE D’HERMANCE

— Avez-vous fini, s’écria-t-il, de nous assommer avec vos sornettes classiques ! C’est idiot, non erat hic locus !

Et d’une voix de stentor :

— Assez ! Tout le monde au salon !

La soirée s’acheva gaîment et se corsa d’une agréable farce.

En effet, la poste de huit heures apporta un exemplaire de la revue Les Bruxellois du Jour où se trouvait la biographie et le portrait du père Verhoegen.

On juge de la stupeur du cordier en lisant les pages lyriques qui lui étaient consacrées. Cela débutait ainsi : « Né le 5 février 1845, fils de Jean-Guillaume-Louis Verhoegen et de Goosens Marie-Louise, Isidore-Philippe-Louis Verhoegen montra de bonne heure de