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même la première, portent pour la accorder. C’est une faute de l’imprimeur ; et il faut lire pour l’accorder, ou bien pour la leur accorder.

P. 135, l. 14, « Ces raisons et assez d’autres. »

Ὁ μὲν ταῦτα καὶ ἔτι πλείω ἔλεγεν. De même Lucien, dans le Songe, ταῦτα καὶ ἔτι τούτων πλείονα εἶπε.

Le manuscrit de Florence porte : ἡ μὲν (c’est une faute, lisez ὁ μὲν) ταῦτα καὶ ἔτι πλείω ἔλεγεν, οἷα τοῦ πεῖσαι λέγων ἆθλον ἔχων τρισχίλιας, leçon qui fait une phrase fort jolie et ne peut être l’ouvrage d’un copiste. Il paroît au contraire que les autres copistes ont supprimé λέγων, comme une variante d’ἔχων, ce qui est arrivé ailleurs.

P. 136, l. 9. « Autrement serois-je bien insensé. »

Leçon de l’édition originale d’Amyot. On a mal corrigé dans les réimpressions, « autrement je serois bien insensé. » Amyot dit de même un peu plus bas : « seulement te veux-je bien avertir d’un point, Dryas. »

P. 138, l. 3. « En grande dévotion d’ouïr. »

Rabelais : « De quelle dévotion il le guette. »