P. 32, l. 10. « Mais plus encore les enflammoit la saison de l’année. »
Amyot : « Outre ce que la saison de l’année les enflammoit encore davantage. » Dans les réimpressions on lit : « Outre ce, la saison de l’année, etc. ; » mauvaise correction. Alors on disoit : « Outre ce que, avec ce que. » Amyot, Vie de Galba : « Outre ce qu’il commandoit à une grosse armée. » Ci-dessous, p. 154 : « Outre ce qu’il aimoit… » P. 155 : « Avec ce qu’il étoit si ivre… » P. 219, l. 4 : « avec ce que la tourmente y aida un petit : » et dans la Vie de Brutus : « C’étoit au cœur de l’été ; il faisoit fort grand chaud, avec ce qu’on avoit campé près de lieux marécageux. »
P. 32, l. 19. « Les fleuves paroissoient endormis. »
On a lu dans le grec εἴκασεν ἄν τις τοὺς ποταμοὺς εὔδειν ἠρέμα ῥέοντας. Comme La Fontaine a dit :
Une rivière dont le cours,
Image d’un sommeil doux, paisible, tranquille….
Toutefois la leçon vulgaire se peut défendre par des exemples et par le πάρισον : τοὺς ποταμοὺς ᾄδειν, τοὺς ἀνέμους συρίττειν.
P. 32, l. 20. « Les vents sembloient orgues ou flûtes. »