compris l’opposition qui est dans le grec entre παιδία et σπουδή.
P. 13, l. 3. « Faisoient la nuit des fosses. »
Cette description de la fosse au loup est imitée d’Hérodote, livre IV. νυκτὸς τάφρην ὀρύξας εὐρέην ἐπέτεινε ξύλα ἀστενέα ὑπὲρ αὐτῆς, καθύπερθε δὲ ἐπιπολῆς τῶν ξύλων χοῦν γῆς ἐπεφόρησε ποιέων τῇ ἀλλῇ γῇ ἰσόπεδον.
P. 13, l. 3. « Des fosses. »
Il faut écrire σερούς dans le grec, comme Ératosthène : ἢ σερὸν ἢ κοίλου φρειάτος εὐρὺ κύτος. Br., on fait aujourd’hui en Calabre des fosses appelées silo, elles servent à garder le blé.
P. 13, l. 14. « Qui étoient, par manière de dire, plus foibles que brins de paille. »
Traduction d’Amyot. Il s’exprime de même ailleurs. Vie de Dion, au commencement : « Tous deux sont, par manière de dire, sortis d’une même école. »
P. 14, l. 1. « Deux boucs… »
Dans le grec, τράγοι παροξυνθέντες εἰς μάχην συνέπεσον, phrase mutilée. On pourroit lire, τράγοι δύο παροξ. Ou plutôt : ἦσαν αὐτῷ τράγοι δύο. (Voyez ci-dessous, p. 158.) Οὕτοι παροξυνθ. εἰς