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seront châtiés : les acheteurs seront condamnés à garder les tombeaux[1].
1. Il semble que, de droit ou par abus, les gardes des tombeaux fussent des serfs : jusqu’au xviii siècle, beaucoup de services publics, ceux des passeurs, esclaves des relais de poste, artisans de divers genres, étaient remplis par des familles qui y étaient héréditairement attachées ; des traces de ce régime subsistent encore aujourd’hui. Il existait sans doute une coutume malogue dans le Ko kou rye.
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