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HISTOIRE DE L’OUVERTURE DU PAYS AUX ÉTRANGERS,

開國始末. Kai koku si matu (édition in-8° de 1887, p. 188).

???

攻 心 。 異 議 长 是 共

雖 此 二 事 あ 關

事 一 時 决 と た 明

て 繼 嗣 外 姿 二

此 。 如 き 順 序 公 經


LECTURE JAPONAISE.

Kaku no gotoki ZIYUN ZIYO wo hete, KEI SI GUWAI KAU no NI ZI ITI ZI Ni KETU sitari to ihedomo, kono NI ZI Ri KUWAN suru no I GI ha, kore to tomo ni sEU METU sezaru nari.

TRADUCTION.

Ayant passé par une telle série (de faits), bien que les deux questions de la succession et des relations étrangères eussent été réglées à la fois, quant aux divergences d’opinion relatives à ces deux questions, il y eut le non-s’éteindre en même temps que cela.

NOTES.

Ici le hiragana est devenu de règle et le katakana n’apparaîtrait que pour jouer le rôle de nos italiques ; les expressions chinoises, encore assez nombreuses, sont prises dans un sens très normal. L’ouvrage d’où cette phrase est tirée, passait, dans ces dernières années, pour un modèle de bon style japonais contemporain.

hete est au gérondif, forme qui indique une proposition subordonnée avec le sens de simultanéité ou de conséquence.