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compose de cette seule phrase, plus une courte formule pour le commencement et une pour la fin.

La syntaxe est purement japonaise et très éloignée du chinois. Quant aux mots, ceux qui expriment les relations et forment le squelette de la phrase, c’est-à-dire ceux qui sont en kana et quelques-uns des autres (ici 候, 以, 被, 度, 處) s’écartent beaucoup de leur emploi primitif ; parmi les autres, je ne vois guère que soei = toge, signifiant effectuer (effectuer le fait de faire entendre S. M.) qui offre un sens un peu spécial.

JOURNAL OFFICIEL DU JAPON,

官報, Kuwan hau (n° du 4 janvier 1894).

中 葉 セ ラ タ り

ロ 本 パ 唯 三 日

新 用 く 日

く 本 月 一 日 中 央

メ ミ ー と 叢 談 タ ル セ の

暴 三 殺 行 停 止 也 ラ


LECTURE JAPONAISE.

Saki ni hatu kau tei si seraretaru tanosimi sou dan ha hon getu iti niti, tiu yau sin bun ha itu saku hutuka, nitu hon ha saku mituka idure mo kai tei seraretari.

TRADUCTION.

Levée de suspension a été faite pour le Tanosimi sou dan le 1er janvier, pour le Tiu yau sin bun avant-hier 2, pour le Nitu hon hier 3, publications précédemment suspendues.

NOTES.

Dans ce texte, comme dans le précédent et dans la plupart des écrits modernes, les mots prononcés à la chinoise sont très nom-