Page:Coubertin Pays vaudois 1919.djvu/29

Cette page a été validée par deux contributeurs.
— 27 —

de sapins majestueux s’élèvent sur les mamelons et parfois quelque petit bois de mélèzes jette dans le paysage sa note jaunâtre. Les chalets vus de cette hauteur, ont l’air de joujoux dispersés par la main d’un enfant. La solitude est complète. Poussez vos skis dans la neige, écoutez leur musique harmonieuse et jouissez pleinement d’une chose rare et délicate : une oasis de poésie au milieu d’un sport rude.