Page:Coubertin Les Jeux Olympiques 776 - 1896.djvu/23

Cette page n’a pas encore été corrigée

rapides, des défiances et des jalousies. Tous mes efforts tendirent à amélioree ses relations avec l’Union Vélocipédique de France, l’Union Nationale des Sociétés de Tir, l’Union des Sociétés des Gymnastique, la Société d’Encouragement de l’Escrime, l’Union des Sociétés d’aviron, l’Union des yachts Français. Je n’y parvins qu’à demi ; il fut possible cependant, de dissiper plus d’un malentendu, d’esquisser même sur certains points, une collaboration amicale. À l’étranger la tache était en apparence, plus difficile ; en réalité elle était moins ingrate et plus aisée. De bonne heure des liens s’étaient formés entre nos clubs Parisiens el les clubs Belges ; il suffisait d’encourager ces tendances. Avec l’Angleterre l’entente fut moins rapide. La présence de M. Herbert à la tête de l’Amateur Athletic Association facilita les choses ; il connaissait nos efforts et les encourageait La National Cycliste Union résista longs-