mins de fer, le télégraphe, le téléphone, la lumière électrique, l’automobile, l’aéroplane… La surprise joyeuse, la curiosité éveillée des jeunes garçons rencontrèrent à l’appui l’intérêt des parents empressés à voir s’ouvrir pour leurs enfants de nouvelles carrières moins encombrées et plus lucratives. Et ces deux forces combinées trouvèrent pour les servir l’exclusivisme enthousiaste des spécialistes prêts à enseigner ces matières nouvelles et portés naturellement à en exalter la valeur pédagogique. Notez que tous ces sentiments sont simplistes et que leur enchaînement apparaît en quelque sorte fatal. Enfin dernier élément favorable ; l’enseignement cellulariste ainsi développé ne heurtait pas les habitudes établies ; comme nous venons de le voir, il recevait de la tradition son moule naturel.
Ce régime défectueux ne tarda pas à rendre impossible que la synthèse désirable s’opérât convenablement dans le cerveau de l’adolescent. Jusqu’alors les éléments distincts qu’on y versait comme en une sorte de creuset — rhétorique,