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l’on ne prétende qu’elle doive se laisser égorger bêtement comme une victime que l’on conduit à la boucherie. C’est ce qu’elle ne fera pas, elle ne peut pas le faire, elle n’en a pas le droit. Alors elle luttera et elle triomphera comme toujours en attendant qu’elle soit appelée sur de nouveaux champs de bataille, car ces luttes comme ces victoires ne sont, en somme, que des épisodes dans la guerre engagée depuis les premiers jours de son existence.

Bien peu connaissent cette obligation et en comprennent la portée ; cependant, comme nous le verrons tout-à-l’heure, elle intéresse tous les fidèles.

Nous essaierons donc dans les pages qui vont suivre, d’expliquer ce devoir, et d’en mesurer toute l’étendue.