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IV

CONTRE LA DÉNONCIATION


Sommaire : — Hésitation. — Ignorance. — Préjugés.


Nous voici rendu à la dernière partie de ce travail.

Il est évident qu’il faut arracher la peau de brebis des épaules du loup. C’est une obligation grave, de droit commun, en ce qui concerne les francs-maçons ordinaires, mais de droit positif et plus strict encore, quant aux chefs des loges maçonniques.

Et pourquoi tous ne font-ils pas leur devoir ? car il y en a bien sûr, qui hésitent, et qui refusent de parler. Nous voulons le dire en terminant, ce sera peut-être forcer ce boulevard du silence qui protège nos adversaires depuis trop longtemps.


1o Bien peu connaissent l’obligation que nous venons d’exposer. Ils ne sont pas avertis, et ils ne comprennent pas la portée d’une pareille loi, ne soupçonnant pas du tout le mal que la franc-maçonnerie peut faire à l’Église et à la société. Sans doute leur esprit est égaré par la profusion d’idées