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S’il m’a fallu aller jusqu’en Sibérie pour trouver le trait principal de cette histoire, je ne puis m’empêcher de dire que pour les caractères, les expressions de la piété filiale, et surtout le cœur d’une bonne mère, je n’ai pas été les chercher si loin[1].

  1. C’est dans la tendresse de sa mère, et dans la bonté de son propre cœur, que Madame Cottin a puisé ces traits sublimes et touchans qui font de son ouvrage un monument élevé par la piété filiale à l’affection maternelle.