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gardes s’avancèrent et entraînèrent Élisabeth hors de l’église, en dépit de ses prières et des efforts du bon Jacques Rossi.

Cependant l’Empereur dans un si beau jour ne veut pas avoir été imploré en vain ; il ordonne à un de ses officiers d’aller savoir ce que cette femme demande. L’officier obéit : il sort de l’église, il entend les accents suppliants de l’infortunée qui se débat au milieu des gardes ; il tressaille, précipite ses pas, la voit, la reconnaît, et s’écrie :

« C’est elle, c’est Élisabeth ! »