Page:Cotret - Les voies de l'Amour, 1931.djvu/254

Cette page a été validée par deux contributeurs.
252
les voies de l’amour

dans mes visites à sa petite chérie. Les parents d’Andrée n’avaient jamais assez de remerciements à m’offrir pour le recouvrement de la santé de leur enfant bien-aimée qu’ils m’avaient destinée depuis longtemps. Pour eux comme pour moi, Andrée était la fleur qui, un instant privée de rosée et de lumière, s’était étiolée et qui reprenait de la vigueur, de la fraîcheur et de la beauté sous les rayons du soleil reparaissant dans tout son éclat bienfaisant.