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MONT-FERRAND

si soigneusement et abondamment nourris, que leur voisinage est à éviter en toute hâte. Néanmoins, il n’y a pas une colline de toute la partie inférieure, qui forme une base pour ceux plus exaltés au-delà, qui ne présente pas de scènes de beauté et de grandeur difficile à égaler ; et variés et beaux sont les chemins au dessus des hauteurs qui domine ce singulier quartier. Ce sera sans fin d’énumérer les endroits desquels on peut admirer ces vues ; mais ils regorgent, et vaillent la peine d’être cherchés.

Approchant Clermont depuis Riom, la route se trouve entre de belles avenues et des vues pittoresques sur l’ancienne abrupte et extraordinaire ville de Mont-Ferrand, dont les maisons sont perchées dans les hauteurs qu’on atteint par une volée de marches en terrasses, et dont les étroites, sales, noires et incommodes rues présentent une apparence la plus désagréable qu’on puisse imaginer. La gaucherie de sa position est très remarquable, , offrant une colline dangereusement abrupte, déformant le pays avec sa laideur sordide, comme dans un contraste assumé avec la plaine qui l’entoure. Quand cela est passé, cependant, à une certaine distance les tours de l’église antique se dressant parmi ses bâtiments élevés présentent un imposant et plaisant