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Comme à toute parure
Un peu d’art correſpond,
C’eſt de ta chevelure
Que ſe fait ſon ſecond ;
Le Zéphir le careſſe
En ſes joyeux loiſirs.
Que n’ai-je ſon adreſſe,
Las ! j’aurois ſes plaiſirs.

Correspondance d’Eulalie, séparateur
Correspondance d’Eulalie, séparateur
Son tout, ô Catherine,

Eſt le titre charmant,
Qui doit ſon origine
Au bonheur d’un amant.
Ah ! loin qu’il t’effarouche !
Que n’eſt-il de ton goût
D’entendre de ma bouche
Cet adorable tout !


Si j’étois ſûre de t’écrire d’ici à quelques jours, je ne te manderois pas le mot de la charade ; mais craignant que cela ne ſoit pas de long-tems, je ne veux pas de faire lan-