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Loin de contenter mon envie,
C’eſt le plus ſot et froid garçon ;
Il mérite bien qu’on s’écrie :
Ah ! le cruchon, ah ! le cruchon.
![Correspondance d’Eulalie, séparateur](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/f6/Correspondance_d%E2%80%99Eulalie%2C_1785-s%C3%A9parateur-1-bas.jpg/30px-Correspondance_d%E2%80%99Eulalie%2C_1785-s%C3%A9parateur-1-bas.jpg)
Je lui témoignai mes déſirs ;
Mille fois je la lui répete.
Avec les plus tendres ſoupirs.
C’étoient toutes peines frivoles,
L’air, dit-il, me ſemble aſſez bon,
Je ne comprends rien aux paroles :
Ah ! le etc.
![Correspondance d’Eulalie, séparateur](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/f6/Correspondance_d%E2%80%99Eulalie%2C_1785-s%C3%A9parateur-1-bas.jpg/30px-Correspondance_d%E2%80%99Eulalie%2C_1785-s%C3%A9parateur-1-bas.jpg)
Avant le lever du ſoleil,
Goûtant la fraîcheur la plus pure,
J’affectois un tendre ſommeil ;
Ma gorge étoit à demi-nue,
Tout lui diſoit : il y fait bon ;
Il ne contenta que ſa vue.
Ah ! le etc.
![Correspondance d’Eulalie, séparateur](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/f6/Correspondance_d%E2%80%99Eulalie%2C_1785-s%C3%A9parateur-1-bas.jpg/30px-Correspondance_d%E2%80%99Eulalie%2C_1785-s%C3%A9parateur-1-bas.jpg)