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disgrâce, que les sentiments en sont assez vifs et nobles, les vers assez bien tournés, et que la façon dont le sujet s’explique dans la première scène ne manque pas d’artifice.



    tres cette inégalité de rang en un même acteur, qui n’ait produit un très-méchant effet. (Examen d’Horace ; voyez tome III, p. 276.)