Le mien[1] semble avoir droit à l’immortalité ;
Mais ma gloire est autant au-dessous de la tienne,
Que la fable en effet cède à la vérité.
- ↑ Mon nom, dans l’édition de Lefèvre ; mais rien n’autorise une pareille leçon. Voyez l’Avertissement de notre tome I, p. 11.