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s'approche, comme un ouragan de feu, touche les malades, et les voilà sauvi^s.
Nous n'irons pas plus loin dans cette voie et bornerons là notre étude du Ràmâyan'a.
Avec cette épopée, et qui donne la gloire, qui prolonge la vie, qui rend les rois victorieux» (I), d'après son propre auteur, nous avons parcouru le dernier chef-d'œuvre littéraire relevant de la période héroïque de l'histoire hindoue. Arrivés au terme d'un chapitre fécond en documents de toutes sortes, ce qui pourra nous en faire pardonner la longueur, nous croyons inu- tile de nous résumer, comme nous l'avions commencé à propos du R'g-Véda, espérant que la disposition et Tordonnance des matières permettront suffisamment au lecteur d'acquérir de suite les vues d'ensemble désirables et de reconnaître sans peine la grande conception médicale qui se dégage des œuvres parcourues et qui parait avoir constamment préoccupé les poètes, c'est-à-dire la notion dominante de l'hygiène.
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Dr JOLVKT.
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IJonleaiix. le 8 janvier 1804.
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