Page:Corbière - Les Amours jaunes, 1873.djvu/316

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Il dort ton bon canon de fer,
À plat-ventre aussi dans sa souille,
Grêlé par les lunes d’hyver…
Il dort son lourd sommeil de rouille.
— Va : ronfle au vent, vieux ronfleur,
Tiens toujours ta gueule enragée
Braquée à l’Anglais !… et chargée
De maigre jonc-marin en fleur


(Roscoff. — Décembre.)