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père une lettre pour toi, que dirais-tu ?
— Eh ! je dirais que tu as bien fait : que tu as fait mieux que je n’étais disposé à faire moi-même.
— Tu ne m’embrasses seulement pas, pour me remercier ? Tu n’aimes donc plus tes parens ?
Et j’embrassai encore une fois Rosalie.
— Mais que va dire ton père ? Voilà ce qui m’inquiète.
— Il dira ce qu’il voudra…
— Et tu dis encore que tu tiens à tes parens ?
— Sans doute que j’y tiens ; mais comme je le peux, comme je tiens à toi enfin.