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ter la proposition de mon amant. Mon père me fut enlevé au moment où je devais m’unir à celui qu’il m’avait paru bien aise de pouvoir nommer son gendre. Après cet événement, il ne fut plus question de mon mariage. Je voulus renoncer à un homme qui m’avait trompée, mais il était trop tard ! »

Ivon à ces mots interrompit brusquement Rosalie… Comment trop tard ? Est-ce que… Il ne manquerait plus que ça… mais non, je ne vois pas… Quoi ! c’était donc un pas grand’chose que notre capitaine d’armes ? Promettre le mariage à une fraîcheur, et puis après la laisser al-