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rière, le bonnet à la main, et m’adressant à Arnaudault, je lui dis, avec assurance :

« Mon capitaine, j’ai envie de faire mon chemin. Voilà une prise, je sais réduire une route sur le quartier et pointer la carte. Je voudrais, si c’est un effet de votre bonté, obtenir la permission de me distinguer en me rendant utile à bord du navire que nous venons d’amariner. »

Arnaudault, sans me répondre, demande à son fils un routier, et une grande carte étendue sur la table de la chambre ; la carte lui est apportée : il la déploie sur le capot. « Voilà où nous sommes, me dit-il, en me montrant un point marqué au crayon