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TnfperMit acddut mAgif/*pè, quàm qujejperes. Au tnoien dequoi, Scneque, appelle PErperance, nom de bien incertain Se les poëtes Grecs, comme Ariftophanes, & Sophoclcs, lui donnent l’cpitcte, de froide, poure, vaine, min ce, ôf incertaine i limitation def- * quels, Ciccron aufsi dit, que la con- HZfZequi. folacion de rEfpcracCjêt bien frêle, Si petiteVoila pourquoi Epiftetc iphigi»u. ici,8f deuant lui Platon, &Aristote, CieeroH en disoient fouuent. que rEfperancc, ct^7^^7. vn fongc â celui qui veille Stoiciés (entre lêquels Epidctc a été uer^ d» des premiers) se moquoicnt fort de ceux, qui se nourriflbicm d*Ef|^rance, cftimans chose aufsi flagicieufe, 6c reprehéfiblcjrcfpcrerjque le crain Cieeron tjpertxct dred’autant que les deux Tyrans, ’JüZlf’ puiflans, sur les hommes, fpt(disoit Lucic)Efpoir, & Crainte.