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an NOTA CI ON. Catxgde. CETTE sentence, aetéprcmîcusmu. remcnr, de Bias Prienicn. lequel enquis, en quoii’homme se deleftoit le plus, répondit ilgaigne f. Et le , Satyrique dit, que l’odeur du gaing, & duprofit, êt bonnc, douce, & fuauc de toutes choses, quelle aigreur, qui fcmblc se mêler parmi ». i — ’t n j Juuntdl e» Lucrt bonus est odor^cx re Qjubbet, D"* Et deuant lui, S ocrâtes fouloit dire., qu’il n’i auoit ennui, ni ma1, conioint aucq le gaing, 8c le profit. auquel pourtant les hommes, quelque fois s’acheminent de telle ardeur, qu’ils laiffent fouuent la clarté, pour choi-Cr les tenebrcs.Et c’êt dequoi Arifto . phancs, accufe griéucment les hommes . qui pour être trop aflujeüs, au gaing, ne peuuent accôplir parfaite-
