3» ALTERC. D’ADRIAN, enfers, où clic se nourrit de serpens, pour monftrer, que les enuieux cngloutiffcnt le venin, & aptes le vomiffent. d’autant que la félicité d’autrui, leur êt poison. & ne se peuuent réiouîr, s’ils n’infcftent de leur venin, les autres. à quoi se iouë aufsi Horaj ce, quandil dit., Hordce du jnuidus alrerÎM, »iacrf/at rehui opimU. hure t des • i. y- • epifires, ïtiuma ficult^non mucnerc tJYdnnt, Màim tormenmm, — Et ccrtâinemcnt, lcs cnuicux, commedifoit AgysLacedcmonicn, font tormcntcs de double douleu r. car ils fcdeulentdcleurmal, &rdu biê d’autrui. ce que ne prend fourcc(commc Saint Augustin nous cnfcigne) que d’orgueil, dcfaft, & d’arrogance. & Plutarque montre doctement, qu’cnuie, a quelque affinité aueq la maladie des leux. qui les fait ébloiür, &c
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